Quand le chef de l'Etat n'est pas hué par des "extrémistes basques", il doit faire face à des supporters trop zélés. Dur la campagne.
Ils avaient été triés sur le volet, carte de l'UMP ou invitation en bandoulière, pour accueillir Nicolas Sarkozy sur la promenade des Anglais à Nice. Le travail a été bien fait. Peut-être trop.
L'enthousiasme débordant des sympathisants sarkozystes a, en tout cas, agacé le candidat qui n'arrivait plus à s'entendre répondre aux journalistes. Alors que ses militants criaient "Socialistes et journalistes à la mer", Nicolas Sarkozy s'est tourné vers le député-maire de Nice, Christian Estrosi, pour lui demander de faire cesser ce brouhaha. Avant de leur lancer, dans un style tout balladurien, "mais qu'ils se taisent".
Ils avaient été triés sur le volet, carte de l'UMP ou invitation en bandoulière, pour accueillir Nicolas Sarkozy sur la promenade des Anglais à Nice. Le travail a été bien fait. Peut-être trop.
L'enthousiasme débordant des sympathisants sarkozystes a, en tout cas, agacé le candidat qui n'arrivait plus à s'entendre répondre aux journalistes. Alors que ses militants criaient "Socialistes et journalistes à la mer", Nicolas Sarkozy s'est tourné vers le député-maire de Nice, Christian Estrosi, pour lui demander de faire cesser ce brouhaha. Avant de leur lancer, dans un style tout balladurien, "mais qu'ils se taisent".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire