Dominique de Villepin, ancien ministre français des Affaires étrangères, ancien Premier ministre et président de République solidaire !!
« Chacun entend ce qu’il veut bien entendre. Mais quand on écoutait Sergueï Lavrov lors de sa conférence de presse avec John Kerry, il était clair qu’il n’accepterait pas un recours automatique à la force. Dans le fond, il y a trois options dans cette affaire sur le plan diplomatique au Conseil de sécurité : la première option, c’est l’option européenne et américaine, c’est une résolution avec une automaticité du recours à la force en cas de manquements graves de la part de la Syrie… »
Le monde entier ou presque a applaudi l’accord trouvé ce week-end entre la Russie et les Etats-Unis sur la question des armes chimiques syriennes. La Russie a expliqué hier, mardi 17 septembre, qu’en fait elle ne voulait pas que la résolution, qui doit être adoptée au Conseil de sécurité, ait un caractère contraignant. Est-ce que c’est une reculade ou est-ce qu’on avait mal compris les termes de l’accord ?
Pour répondre à ces questions, Dominique de Villepin, ancien ministre français des Affaires étrangères, ancien Premier ministre et président de République solidaire est l’invité de Frédéric Rivière.
AGENDA :
Jeudi 19 septembre, à lire dans les colonnes de Nice-Matin, une interview de Dominique de Villepin.Vendredi 20 septembre, Dominique de Villepin est l'invité d'Eric Valmir dans l'émission "Partout Ailleurs" sur France-Inter entre 19h20 et 20h00.
" Les méandres de la diplo, l'ONU en crise en marge du dossier Syrie"
« Chacun entend ce qu’il veut bien entendre. Mais quand on écoutait Sergueï Lavrov lors de sa conférence de presse avec John Kerry, il était clair qu’il n’accepterait pas un recours automatique à la force. Dans le fond, il y a trois options dans cette affaire sur le plan diplomatique au Conseil de sécurité : la première option, c’est l’option européenne et américaine, c’est une résolution avec une automaticité du recours à la force en cas de manquements graves de la part de la Syrie… »
Le monde entier ou presque a applaudi l’accord trouvé ce week-end entre la Russie et les Etats-Unis sur la question des armes chimiques syriennes. La Russie a expliqué hier, mardi 17 septembre, qu’en fait elle ne voulait pas que la résolution, qui doit être adoptée au Conseil de sécurité, ait un caractère contraignant. Est-ce que c’est une reculade ou est-ce qu’on avait mal compris les termes de l’accord ?
Pour répondre à ces questions, Dominique de Villepin, ancien ministre français des Affaires étrangères, ancien Premier ministre et président de République solidaire est l’invité de Frédéric Rivière.
AGENDA :
Jeudi 19 septembre, à lire dans les colonnes de Nice-Matin, une interview de Dominique de Villepin.Vendredi 20 septembre, Dominique de Villepin est l'invité d'Eric Valmir dans l'émission "Partout Ailleurs" sur France-Inter entre 19h20 et 20h00.
" Les méandres de la diplo, l'ONU en crise en marge du dossier Syrie"