mercredi 16 octobre 2013

La justice familiale !!



L'"ouverture" voulue de la justice familiale d'après Komarnicki 

Elle est très spéciale la justice familiale en France. C'est une machine autoritaire déguisée, servant à normaliser une politique familiale idéologisée dans le seul intérêt des professionnels au mépris des familles qui ont le malheur d'avoir affaire à elle, soit par des dénonciations calomnieuses, soit dans des conflits familiaux où les enfants ne sont nullement en danger au sens de l'article 375 du code civil.

Mais les dangers, ces professionnels se chargeront alors de les voir partout au moyen de marqueurs dignes des plus grands paranoïaques de la galaxie. Cette justice familiale juge des parents qui n'ont commis aucun méfait, aucun crime sur leurs enfants, mais les persifflages passionnent les robes noires au delà de n'importe quel fait divers réel.

Cette justice là juge des parents pour ce qu'ils ont fait de mieux dans leur vie : leurs enfants. Cette justice là réduit et nivelle les responsabilités parentales suivant ses ressentis sans observation objective de faits réels.

Souvent de simples rapports d'enquêteurs sociaux aux abois font loi ou d'experts qui se prennent pour Dieu le Père suffisent à envoyer un parent aux enfers le privant de son rôle le plus beau, celui d'être père ou mère sans que rien de grave ne l'indique hormis les idées préconçues des professionnels.

La convention internationale des droits de l'homme n'est pas respectée dans cette justice, qui est en fait le seul pouvoir à ne pas s'excuser pour ces erreurs (et horreurs).

Il y a des avocats qui se prennent pour des experts psy, il y a des experts psy qui se prennent pour des avocats et prennent parti. Il y a des magistrats qui se contentent d'aller où le vent des rumeurs les mènent sans même prendre la peine de lire en détail (qui fait la différence) les tenants et les aboutissants d'une affaire, pièces annexées pourtant à l'appui.

En France, être parent c'est s'attendre en cas de séparation ou en cas d'ennemis médisants quant aux capacités parentales, à être sous contrôle d'un Juge qui décidera d'autorité ce à quoi le parent aura droit ou pas.

Un parent est un parent, à moins d'un comportement délictuel et gravement sordide, un parent a le droit de sa fonction sans qu'un juge vienne lui interdire de l'être et le réduise en miette à sa guise armé de ses collaborateurs dont les intérêts supérieurs sont tout sauf ceux d'un enfant.

Comment garantir des valeurs morales à ces enfants happés dans cette justice qui fait de leurs parents des non grata dans leur vie ?

Cette justice là fabrique de futurs délinquants, des paumés, des écorchés, qui rempliront les foyers ou les prisons ou seront toujours rattrapés par leur parcours  traumatisé d'une manière ou d'une autre.



Collectif

mercredi 18 septembre 2013

Retrouvez l'entretien de Dominique de Villepin avec Frédéric Rivière ce matin sur RFI + AGENDA ::

Dominique de Villepin, ancien ministre français des Affaires étrangères, ancien Premier ministre et président de République solidaire !!






« Chacun entend ce qu’il veut bien entendre. Mais quand on écoutait Sergueï Lavrov lors de sa conférence de presse avec John Kerry, il était clair qu’il n’accepterait pas un recours automatique à la force. Dans le fond, il y a trois options dans cette affaire sur le plan diplomatique au Conseil de sécurité : la première option, c’est l’option européenne et américaine, c’est une résolution avec une automaticité du recours à la force en cas de manquements graves de la part de la Syrie… »


Le monde entier ou presque a applaudi l’accord trouvé ce week-end entre la Russie et les Etats-Unis sur la question des armes chimiques syriennes. La Russie a expliqué hier, mardi 17 septembre, qu’en fait elle ne voulait pas que la résolution, qui doit être adoptée au Conseil de sécurité, ait un caractère contraignant. Est-ce que c’est une reculade ou est-ce qu’on avait mal compris les termes de l’accord ?

Pour répondre à ces questions, Dominique de Villepin, ancien ministre français des Affaires étrangères, ancien Premier ministre et président de République solidaire est l’invité de Frédéric Rivière.

AGENDA : 
Jeudi 19 septembre, à lire dans les colonnes de Nice-Matin, une interview de Dominique de Villepin.Vendredi 20 septembre, Dominique de Villepin est l'invité d'Eric Valmir dans l'émission "Partout Ailleurs" sur France-Inter entre 19h20 et 20h00.
" Les méandres de la diplo, l'ONU en crise en marge du dossier Syrie"

mardi 17 septembre 2013

Dominique De Villepin invité "des 4 Vérités" - 16/09

Duel PS/FN : Dominique De Villepin critique Fillon !!




Pour Dominique de Villepin, François Fillon a déclenché « une querelle pour rien » en se plaçant « dans une hypothèse qui n'a aucune chance de se produire », à savoir un duel FN/PS au deuxième tour des municipales. « Il faut qu'on en revienne à la raison », a demandé l'ancien premier ministre sur France 2, en rappelant la « position saine de Jacques Chirac » : « Pas de compromission avec le Front national. » Pour Dominique de Villepin, c'est du « bon sens », un « principe sain en démocratie.

Également interrogé sur la Syrie, il a jugé que c'était la «fermeté» qui avait commencé à payer, « la pression politique et la pression des opinions », plutôt qu'une menace militaire « qui a rarement été crédible, sauf au tout début ». « Peut-être sommes-nous partis trop vite », a-t-il déploré, en souhaitant que la France «pose des propositions sur la table», notamment pour résoudre le « drame humanitaire » syrien. « Nous n'allons pas transporter la population syrienne en Europe, mais il y a des gestes à faire, des solutions possibles, des zones tampons, des corridors humanitaires ».

Sur le plan diplomatique, Dominique de Villepin a regretté la position française : « Nous avons voulu diaboliser la Russie, alors qu'il n'y a pas de solution sans elle ». Il a aussi estimé que la France devait « engager un dialogue avec l'Iran », car derrière la crise syrienne, « il y a la question du nucléaire iranien, et aussi du nucléaire israélien ».

Le Figaro, 8h20. 

jeudi 29 août 2013

Dominique de Villepin : En Syrie, la solution militaire n'est pas la bonne !!


Dominique de Villepin: l'invité de Ruth Elkrief... par BFMTV



L'ancien Premier ministre Dominique de Villepin a mis en garde mercredi contre une intervention militaire française en Syrie, lui préférant une solution humanitaire.
"Je ne crois pas que l'outil militaire, le raccourci militaire soit la solution idoine dans des crises complexes", a jugé l'ex-locataire de Matignon sur BFMTV.

"Quel est le sens d'une action menée par des pays européens, ou par des pays occidentaux si cette action est menée en dehors de la légalité internationale, en dehors même d'un objectif d'efficacité, uniquement avec le souci de soulager notre mauvaise conscience ?", a-t-il dénoncé.

"Est-ce qu'une frappe même ciblée et même limitée va améliorer le sort des populations de la Syrie ?", a-t-il demandé, avant d'ajouter: "Non".

"Au contraire, des frappes militaires nous éloigneraient d'un réglement politique, diplomatique, et n'apporteraient en aucune façon une amélioration du sort des populations", a estimé celui qui orchestra le "non" de la France à l'ONU contre la guerre en Irak en 2003.

Pour l'ancien Premier ministre, la solution doit être humanitaire, afin d'"assumer cette responsabilité de protéger".

"Je préfère utiliser dans un milieu complexe des moyens humanitaires même s'ils sont parfois risqués plutôt que des moyens militaires qui en l'occurence sont aveugles et sont sans garantie aucune de stabilité pour le futur", a-t-il affirmé.

Ces solutions pourraient passer notamment par la mise en place d'une "zone d'exclusion aérienne", qui "permettrait d'adresser un signal très fort de notre détermination et permettrait par ailleurs d'enclencher à nouveau un processus de dialogue de négociation avec les Russes, avec la Chine, avec l'ensemble des pays de la communauté internationale", a-t-il plaidé.

Il a proposé aussi l'instauration de "zones-tampon" pour "que l'aide humanitaire apportée par l'Occident, qui est infiniment trop faible, puisse être apportée" aux réfugiés dans la région.

"Il y a la possibilité d'utiliser des corridors humanitaires", a-t-il poursuivi, reconnaissant la difficulté de recourir à cette solution car elle nécessite l'envoi de troupes au sol.

"Aujourd'hui frapper c'est quoi ? Ça veut dire viser" des installations militaires, des bâtiments. Mais "que ferons-nous le lendemain si rien ne change ?" . "Je ne crois pas qu'on puisse décider d'une stratégie militaire sans avoir une vision politique", a dit M. de Villepin.

"Depuis un peu plus d'une décennie", il y a "une militarisation des esprits dans nos démocraties occidentales". "On part du principe", a-t-il dit, "que la réponse face à ce type de catastrophe doit être à peu près systématiquement une réponse militaire". "Je ne le crois pas", a conclu M. de Villepin qui s'était déclaré opposé à l'intervention française au Mali en janvier 2013.

vendredi 12 juillet 2013

François Fillon : « L'UMP ne peut vivre congelée dans l'attente d'un homme providentiel »

François Fillon et Nicolas Sarkozy à l'aéroport de Roissy le 20 mars 2012. 
( Une pièce dont la double face représente deux faux jetons )


L'ANCIEN PREMIER MINISTRE S'EN EST PRIS DIRECTEMENT À L'EX-PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE...

Il était attendu, il a répondu présent. L'ex Premier ministre, qui s'exprimait lors d'une réunion publique à La Grande Motte, a évoqué le discours de l'ancien chef de l'État lundi devant le bureau de l'UMP, en affirmant que «personne ne peut dire circulez! il n'y a rien à voir, le recours c'est moi!».
François Fillon a ciblé ce jeudi Nicolas Sarkozy, en affirmant que « l'UMP ne peut pas vivre immobile, congelée, au garde à vous, dans l'attente d'un homme providentiel ».

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Mais lui non plus n’est pas l’homme providentiel pour sauver la France , çà ce saurait, c’est du réchauffé, rien de plus !!

Il est certain que les français de droite ( et même de gauche ou autres ) ne doivent pas se laisser encore enfumer par N.SARKOZY qui n'apportera rien de plus que ce ( qu'il a mal fait dans son quinquennat 2007/12 )

Ce serait une erreur et un manque d'imagination de reprendre toujours les mêmes, cela n'a jamais rien donné de bon !!

Il faut que nos concitoyens aient le courage de donner une chance à de nouvelles têtes, il y en a, même si ce n'est pas facile de trouver des politiciens totalement clean , honnêtes ne pensant pas trop à leur carrières (ne traînant pas de casseroles ou ayant des fantômes dans le placard...)

Car F.FILLON ne l'oublions pas trop vite tout de même , est resté 5 ans avec Sarkozy et si quelque fois il a fait mine de s'en aller , il n'est jamais parti pour autant , et a laissé l'ex président gouverner et décider seul , comme un pseudo faux dictateur freiné heureusement encore par nos institutions démocratiques de notre 5éme république ringarde , qu'il a essayé d’éroder sans beaucoup de résultat.

Donc, c'est indirectement reprendre encore les mêmes , les deux cotés d'une même face!

Donc les français on un peu moins de 4 ans pour réfléchir, qu'ils essaient de le faire tranquillement avec le maximum d'intelligence ( en ne se laissant pas anesthésier par le chant des sirènes des discours ou shows à grands spectacles et les sondages fumeux de médias partiales qui orientent hélas leurs votes indirectement inconsciemment !! ) Cela va être dur pour certains fans du gourou sarkozien !!





dclef :

mercredi 10 juillet 2013

Consommation : Bruxelles adapte les droits à l'ère de l'Internet



La Commission européenne a mis en garde mardi contre les forfaits de vacances achetés sur l'internet et a présenté une série de mesures pour protéger les droits des consommateurs.

Les propositions soumises pour approbation aux Etats membres et au Parlement européen visent à renforcer les droits d'annulation, contrôler les suppléments de prix, avec la fixation d'un plafond de 10% pour les majorations, assurer une information concernant la responsabilité et garantir des voies de recours pour obtenir une indemnisation en cas de "vacances gâchées".

"67% des citoyens pensent être protégés lorsqu'ils achètent ces prestations sur internet. Or ils ne le sont pas", a affirmé la commissaire en charge de la Justice, Viviane Reding.
La législation européenne de 1990 applicable pour les voyages à forfait achetés sur catalogue auprès d'une agence de voyage "n'est pas encore entrée dans l'ère du numérique", a souligné la Commissaire.

Or près de 120 millions de citoyens européens organisent chaque année leurs vacances via l'internet et personnalisent leur séjour. Ils peuvent ainsi réserver le transport et l'hôtel auprès d'un même organisateur, ou louer une voiture par l'intermédiaire du site internet sur lequel ils ont réservé leur vol.

Mais les dispositions de 1990 "ne couvrent tout simplement pas ce type de prestations, ou ne le font que de manière ambigüe, laissant les consommateurs dans l'incertitude quant à leurs droits et les commerçants dans le doute quant à leurs obligations", a-t-elle souligné.



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